Un morpion privé de facultés mentales
Vadrouillait dans les poils des pièces
génitales
D’un énorme mammouth qui, s’en trouvant honteux,
Avait jeté sa trompe aux basques du fâcheux.
Malgré la déficience atteignant ce morbaque,
Il s’était abrité, dès la première attaque,
Dans cet entrecuissot si sensible au mammouth,
Que la trompe hésitait à réprimer d’un shoot.
Il élut domicile au milieu des rou…ettes ;
R…bignoles, r…stons, tes..cules, bur …,
Pour y fondre un foyer que l’ancêtre éléphant
Avait à contrecœur admis comme adhérent.
Ne passent pas trois jours que leur hôte se
trouve
Une maîtresse en rut pour laquelle il éprouve
Un singulier désir dilatant son phallus,
Qui va bouleverser le sort du phtirius.
Ce demeuré qui voit l’enflure de la p…ne
Choisit mal à propos, de son âme crétine,
De partir l’explorer jusqu’au bout du chemin,
Tandis que le gland fou pénètre le vagin.
Si le con du mammouth met en danger sa vie,
Celui de la maîtresse est humide d’envie,
Et le premier des deux, découvrant leurs
amours,
N’en tire aucun plaisir dans les aller-retours.
Il est trop englué dans la grotte idyllique,
Dans laquelle son hôte enfonce au mieux sa tr…que,
Pour pouvoir espérer retourner au bercail
Des bourses du géant qui cognent au portail.
Alors, de profondis, au son d’un air funèbre,
Résonnent les échos d’une chanson célèbre
Relatant les exploits de ce morpionibus
Qui va bientôt périr au fond d’un utérus. (2)
(1) Théophile Gautier fut l’auteur de ce chant
Qui nous rend l’animal pour le moins
attachant.
(2) Je n’avais pas désir, en aucune manière,
De vous conter cela s’il passait par derr….
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